Nous étions réunis à presque une trentaine ce soir-là pour ce 73ème Dîner Ovni et 39ème rendez-vous de l’éveil de la rentrée 2018 au Restaurant l’Etrier le 20 Octobre dernier pour accueillir sur place notre ami David Bouquet qui nous a indiqué le chemin de la tradition endormie et de la connaissance primordiale. Ses enseignements et réflexions ont permis à beaucoup ce soir-là de réfléchir à notre condition humaine, le sens de la vie, et la place de notre conscience au sein de cette « réalité » distordue à tous les niveaux.
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Nous commençons avec la présentation de ce 73ème Dîner Ovni et 39ème rendez-vous de l’éveil, dont voici le Diaporama :
Voici la video de la présentation de la soirée :
Pendant le dîner je diffuse quelques extraits videos sur la tradition primordiale de René Guénon, la gnose, les liens entre la Royauté Anglaise et la Franc-maçonnerie, les dangers de la 5G, une ancienne BD d’Hergé et Tintin « Vol 714 pour Sidney » que je fais circuler en posant quelques questions dessus, un tour des actualités du mois, mes 2 dernières interviews en Anglais sur ma chaine DTV avec Sherry Swiney et Joanne Summerscales, celle sur la ferme exohumaine 1ère partie sur Les Sentiers Du Réel et les autres interviews de la même chaine, mon interview sur la chaine de l’Archiviste, mes articles sur la collecte de l’ADN, les voix de l’au-delà, les artificiers du climat, Corey Goode, et mon annonce d’interview avec Harald Kautz Vella, etc… Nous finissons le repas avec la minute humour.
Après le dîner, nous donnons la parole à notre invité, David Bouquet, pour sa première partie en mode « conférence », qui sera suivie d’une partie « débat ».
Je vous laisse découvrir les vidéos, tout d’abord de la partie conférence :
Puis la partie débat :
Voici la retranscription complète de la conférence de David :
La meilleure façon de comprendre la connaissance primordiale nous dit David, c’est de faire le silence, et l’absence de bruit. Il nous remercie de notre présence et la sienne et nous décrit le déroulé de son exposé, un sujet basé sur son expérience de vie et sous l’aspect métaphysique aussi.
David nous mentionne ses premières citations. La première de Georges Orwell, « en période d’imposture universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire » et Isaac Asimov « Quand la stupidité est considérée comme du patriotisme, il n’est pas bon d’être intelligent ». Une citation hindouiste : « le jour où tous les hommes marcheront à 4 pattes, ceux qui marcheront debout seront considérés comme des anormaux. »
Le mot, le son c’est le verbe. Quand on est sincère quand on parle il y a autre chose qui se passe dans la relation. Nous sommes sur un échiquier où se déroulent des jeux de prédation à de multiples niveaux, dans le niveau le plus grossier comme dans le niveau le plus subtil. Des scénarios qui se répètent depuis des années sur la formule de manger être mangé. Ce qui fait que nous vivons dans un monde de plus en plus mécanisé, froid, humide, inorganique qui nous dit sans ces que ce que vous voyez la norme est une illusion, ce que vous croyez savoir n’est qu’un programme, ce que vous croyez vrai ne l’est pas. Depuis qu’il était petit David cherchait hors des sentiers battus et le maitre mot pour lui qui est en correspondance avec cette recherche sur la connaissance primordiale, c’est le mot régénérer et renaître… générer de nouveau la grande vie. Ce sentier caché de cette connaissance primordiale lui a toujours posé cette question : d’où tirons-nous notre réelle origine ?
Evidemment cette question est vaste et demande à être dans une très grande vigilance. Le qui suis-je est une nécessité vitale, et il est bon d’être en colère juste face à un système qui nous emprisonne dans une matrice interne et externe dans une force de sommeil de mécanicité, de répétition et d’oubli. Il faut sans cesse répéter ce qu’on pourrait approcher de la vérité comme un immense coup de pied. Un immense coup de pied dans ce décor du théâtre qui nous emprisonne tous.
Il appelle ça depuis longtemps le crime contre le soi. Le crime contre le soi comme c’est tragique d’être esclave. Ces photos sont vraies elles ont été photographiées au jardin des plantes à Paris au temps des grandes colonies. Vous voyez des tribus d’Amérindiens et d’autres tribus qui sont bien plus en avance que vous les civilisés, et qui étaient vus comme des zoos en cage. Comme c’est tragique d’être esclave, mais c’est ce que nous sommes actuellement, sauf que le système est suffisamment pernicieux qu’on pourrait croire à notre liberté. Que c’est tragique d’être esclave quand on confond le mot conscience avec l’état habituel qui est un état de sommeil, et qui nous font oublier la perspective suprême de la conscience et de la définition de l’humain humus qui est de s’appuyer sur la matière pour dépasser sa dualité interne.. mais il nous pose la question comme un immense coup de pied ; jusqu’à quel degré nous allons nous dégénérer jusqu’à quel degré nous allons devenir des hommes et des femmes éprouvés, amnésiques et qui oublient de plus en plus ? C’est cette question actuelle, nous devons avancer, non pas dans l’espoir de modifier ou de participer à quelque chose qui pourrait évoluer sur cette planète, nous parlons bien de ligne de temps. Nous devons avancer avec notre conscience pour rejoindre une autre ligne de temps. Et soit nous travaillons sur notre conscience ou soit on revient à la ferme des animaux. Vous comprenez que l’enjeu de cette connaissance primordiale est au plus profond de nous au fond du fond et au-delà du parc de là. C’est cette voix intérieure de plus en plus silencieuse qui nous fait comprendre combien nous sommes sous hypnose et combien ce plan est machiavélique. Le gnosticisme, les gnoses, disait le coupable, Yaldabahot, l’archonte, le démiurge. Et question est importante. Enfant on lui parlait souvent du firmament, et quelques semaines après il a regardé son étymologie.
Le firmament en étymologie ça veut dire vaste double. Il ne pensait pas alors accrocher une certaine vérité et le mot du réveil fut métanoïa. Vous connaissez le terme grec qui veut dire transformation totale de la mentalité. Quand on parle de sacrements dans les traditions d’origine. Sacrement veut dire ce qui rend le mental sacré. Regardez juste ces deux phrases, mettez-les dans votre cœur et non pas dans votre intellect. Si le mental meurt la conscience apparaît. Etre libre du passé c’est être libre maintenant. Il sentait que ces paroles venaient du cœur, de la plus haute métaphysique des origines. Il entendait et nous pouvons encore entendre le battement encore faible de la tradition… L’ombre gigantesque de l’initiation et l’ombre gigantesque d’une connaissance primordiale. Cet héritage a été déformé et réduit en miettes, a été récupéré et manipulé par des siècle d’hégémonie à l’exemple des quatre siècles d’hégémonie Romaine qui ont à la fois brûlé la bibliothèque d’Alexandrie, assassiné Hypatie d’Alexandrie qui était la gardienne de ce temple, et qui ont déformé le passé.
Voilà les trois triangles qu’il nous indiquait. C’est cette vision là qu’on doit avoir tous (voir la video et le tableau) parce que nous sommes déjà dans la profondeur, vivre le ici et maintenant d’une autre manière. Voilà ce que nous dit cette connaissance primordiale : retrouver une dignité vitale. Restaurer une base métaphysique découvrir l’histoire cachée du monde et découvrir les outils et les moyens. Notre sortie possible pour retrouver une autre dynamique est dans ces trois mots : changement de notre ligne de temps, le libre arbitre où nous devons remettre les règles du jeu de la vie et l’imposer et se dé-hypnotiser se dés-éduquer et quitter les peurs.
Une autre triangulaire aussi : le vrai soi. Qu’est-ce que le soi en vous qu’est-ce que la nature de la réalité qu’est-ce que la distorsion ?
Alors l’histoire de la connaissance primordiale. Quand il était petit il a vu un haïku qui est un poème japonais. Ce haïku disait de mémoire « goutte d’eau sur un lac immobile, goutte d’eau qui provoque des spirales ».
Ce qui est important à savoir c’est que pour comprendre le battement du cœur de la connaissance primordiale il faut quitter sa vision linéaire de la vie, et avoir une vision sphérique. Une vision sphérique qu’ont par exemple toutes les philosophies orientales. Dans son cursus il est resté longtemps dans une passerelle à créer entre la psychologie occidentale, la philosophie orientale et la physique quantique. Si on commence à ressentir ce qu’est la vision sphérique on se rend compte que tout est dans le ici et maintenant et que tout dans l’ici et maintenant est le soi qui contient toutes les mémoires et qui contient tout le futur.
Si vous voyez bien finalement ses gouttes d’eau qui sont sur le lac, elles des vignes de vie des lignes de temps qui s’entrecroisent à l’infini. On peut prendre notre ligne de temps une petite parcelle et voir ce qui s’est passé. Cette ligne de temps on ne peut pas la mesurer avec notre vision linéaire, qu’est-ce que c’est que trois cent mille, cinq cent mille, 600 1000 ans voire 50 mille ans. Il y a eu dans cette vision , tout est dans une vision sphérique, d’autres civilisations avancées avant nous et qui ont reproduit la même chose dans un cercle infernal. Il y a eu sur notre ligne de temps d’autres civilisations avancées dont on a hérité certaines choses : l’énergie libre, la géométrie sacrée, l’ordre cosmique, la conscience, l’antigravité, les pouvoirs paranormaux. Nous sommes issus dans nos cellules de cette mémoire-là, et en même temps dans nos cellules habite aussi ce qu’il appelle la distorsion, la distorsion on appelle ça le schisme. Le schisme c’est le fait qu’il y ait eu dans l’histoire humaine une perception déformée et faussée de l’humain.
Les gnostiques parlent de l’Adam, et d’Anthropos. Anthropos c’est la première forme humaine qui a été génétiquement manipulée. Donc il y a eu dans note histoire humaine pour comprendre la connaissance primordiale une fausse réalité qui a piraté la réalité humaine qui existait auparavant et qui existe toujours. Il y a eu dans notre histoire et c’est très important à comprendre pour comprendre comment la connaissance primordiale a été mélangée dans le vrai et le faux, une fausse réalité ayant piraté une réalité humaine, qui existait auparavant et qui existe toujours dans nos mémoires. Ce qui veut dire que nous sommes le symbole de cette ambiguïté-là, nous sommes à la fois appelés vers autre chose qui dépasse notre mental et nous sommes en même temps prisonnier de cette distorsion.
Alors pour comprendre cette connaissance primordiale il faut bien comprendre que seul, quand on commence à ne plus saisir les choses et que le silence s’installe, sa première définition ce soir : pour lui la connaissance primordiale est un son non frappé. Un son non frappé, c’est le silence à la base de tous les bruits et ce silence interpelle les chenilles mécanisées que nous sommes devenus, des chenilles enfermées dans le temps par la naissance et la mort, enfermés dans l’espace par la distance et la séparation. Quel lien existe-t-il entre ce soi profond et notre réalité d’aujourd’hui où nous sommes enfermés de plus en plus dans un mental et un fonctionnement de ce mental de plus en plus délirant qui nous enferment nos grandes forces dans la dualité.
Une petite parole d’Edgar Allan Poe : tout ce que nous voyons ou croyons n’est qu’un rêve dans un rêve. Dans le film matrix « as-tu déjà fait ce rêve Néo, qui semble plus vrai que la réalité ? Si tu étais incapable de sortir d’un de ces rêves comment ferais tu pour distinguer entre le rêve et la réalité ?
Sa définition c’est que nous sommes dans un rêve qui dure, qui s’efforce à nous faire croire que ce rêve est une réalité. Et pourtant, la seule chose qu’il peut dire sur cette connaissance primordiale et sur toutes les recherches qu’il a pu faire, c’est que cette conscience est là identique, éternelle, encore accessible parce que notre adn a cette mémoire-là, cet adn qui est tellement intéressante pour tout ce qui est manipulation génétique. Cette conscience ne pouvait ne pas être là avant notre naissance. Si le mental meurt, la conscience apparaît. C’est la connaissance de cela qui une fois connu fait que tout le reste est connu. Comment partir de cette base, comment pressentir cette connaissance primordiale. Elle ne peut que se pressentir, elle ne peut être que vécue, par votre propre vie, parce que nous voyons mal, nous avons une fausse connaissance, nous avons une fausse vision. Cette distorsion ce schisme dont on pourra parler pendant le débat a provoqué une illusion d’une matrice qui s’étend au-delà des 5 sens. N’oubliez pas qu’aveuglement ne veut pas dire aveugle, ça veut dire qu’on voit mal, et pour commencer il faut savoir que se réveiller de la manière dont on a conçu l’existence c’est quoi ? C’est prendre conscience des profondes croyances que l’on nous a infligées dans nos cellules. Les premières choses qu’on nous a fait croire nous êtres humains libres conscients parfaits dans le ici et maintenant, on nous a fait croire qu’il fallait souffrir pour évoluer, souffrir pour évoluer dans un cycle infini balayé par l’amnésie. On nous a fait croire qu’il fallait aller vers la lumière à notre mort, une forme qui attire l’âme. On nous a fait croire aussi qu’il fallait être heureux par l’Happycratie, on nous a fait croire qu’il fallait absolument maintenant faire de la pleine conscience, pour mieux encore s’adapter à ce monde. Ce sont des croyances qui nous font croire que nous pouvons encore nous adapter à ce monde. Mais ce monde ressemble à ça alors que nous sommes nés de l’infini et nous allons vers l’infini. Ce monde s’installe dans une technologie, un système électromagnétique de clonage et d’hybridation, pour mieux encore nous renforcer dans notre verrouillage. Ce monde arrive avec un rouleau compresseur qui s’appelle le transhumanisme, qui est le pouvoir et la fusion de l’homme avec la machine. Ce monde continue ses rituels de magie noire, c’est une réalité, mais cette réalité-là ne veut pas dire qu’il faut désespérer.
Sur sa définition de la connaissance primordiale après toutes les années de recherches il s’est plutôt orienté au départ sur l’empire paradis, sur une nostalgie d’un âge d’or, mais il n’a pas trouvé de preuves tangibles à ça. Sa définition de la connaissance primordiale est plutôt une condition, un état spirituel pré-terrestre…ça veut dire que de toute façon si il y a eu un âge d’or, celui-ci ne fut pas unique. Il a appris en premier qu’il fallait non pas voir la vie d’une façon linéaire mais de la voir de façon sphérique. Voir l’univers d’une façon sphérique c’est de ne plus voir les causes à effets, l’espace et le temps et la temporalité, c’est de comprendre que nous créons à chaque instant par notre formation mentale le big bang, nous créons l’univers à chaque instant parce qu’à chaque instant notre cerveau crée le monde que l’on voit. Pour comprendre le schisme et la distorsion, le subconscient cosmique a changé les informations qui a fait que nous décodons ce que nous prenons pour une réalité, qui est en fait une illusion supplémentaire. Nous entrons dans un mécanisme impitoyable de cycle et c’est là-dessus qu’il intervient c’est que cette tradition primordiale nous parle vraiment de la sortie du cycle, c’est un espace avant la connaissance. Pourquoi, parce que tout est inscrit dans nos cellules un espace avant la connaissance, c’est pour ça que nous avons une sorte de nostalgie d’une certaine forme de ligne de temps où les choses étaient dans la conscience et que nous éprouvons de la souffrance sur cette planète où on nous a jetés.
Alors la connaissance primordiale nous a légué des allégories. Il a choisi une métaphore qui explique vraiment les choses. Est-ce que quelque part le but de cette matrice qui est en train de se développer dans une autre matrice qui va renforcer encore plus la coupure avec le lien d’origine, ne sommes-nous pas quelque part des prisonniers dont le mot libération ne fait même pas vibrer. Est-ce que le mot libération vous fait vibrer et de quoi voulez-vous être libérés, que veut dire un être humain libéré ? Tout ça est expliqué dans ce dessin, qui explique que sans répondre à cette mémoire vibrante d’origine, il s’offre dans un désaxement et un déboussolement. Ce dessin nous dit aussi que les particules qui nous constituent nous expliquent le but même de la vie. Notre travail intérieur va pouvoir augmenter en fréquence les particules de notre corps parce que ces fréquences vibratoires que l’on va induire dans nos particules est la seule façon de sortir de tous les lieux intermédiaires après notre mort et de quitter toutes les formes.
Une métaphore, c’est simplement par le visible dire l’invisible. Tout à l’heure il nous montrera une allégorie : pensez-vous 150 à 200 mille ans d’une humanité qui a été remplie de civilisations avancées, forcément nous avons un mécanisme héréditaire en nous même si notre adn est verrouillé. Mais c’est encore possible d’entendre le son et la parole de cette mémoire, parce que cette conscience ne peut pas être manipulée, elle est celle qui est le début et la fin. Les zones Amérindiennes et Africaines de 10 à 15000 ans en parlaient déjà à l’époque, de la constitution de l’être humain dont il nous parlera après. Ils parlaient de la survie après la mort mais va de la survie dont on peut parler avec la lumière blanche, mais de comment se sortir de toutes les formes pour retrouver un néant qui est un plein. Ce dessin du cercle, rien n’est plus simple qu’un cercle. Juste une phrase si vous la saisissez en vous c’est en vous vous l’imprégner dans votre cœur et dans vos cellules vous avez compris la vie est un mouvement sur un fond d’immuabilité. Nous sommes nés dans et de l’infini. Trois phrases clés ce dessin le dit : il y a d’innombrables naissances et morts et finalement il y n’a ni naissance ni mort.. pourquoi ?
Tout est une question d’intention. L’intention c’est ce qui va enfermer la conscience à différents degrés de ce que vous souhaitez.. l’intention va focaliser la conscience dans son sens le plus large ou dans son sens le plus étroit. Vous pouvez demander à votre conscience de devenir un robot organique pour ça il n’y a qu’à être un parfait mouton de la distorsion. Cette connaissance primordiale nous indique qu’il y a d’innombrables naissances et morts, il n’y a ni naissances ni morts.
Il nous répète que les anciens et les plus éclairés savaient que cette réalité était cyclique et non linéaire. Ce dessin nous indique clairement à nous enfermés dans des camisoles psycho chimiques et électro-magnétiques, pharmaceutiques etc.. les anciens nous ont légué un rapport avec la Terre au niveau du Cosmo-tellurisme, ils nous ont surtout enseigné le vrai état vibratoire que chacun doit travailler, qui doit vous conduire en deçà de la lumière après votre mort. Cette conscience doit être suffisamment forte pour que ne soyez pas hypnotisés comme des lapins dans les phares de voiture par cette lumière qui vous attire à renaître de nouveau pour servir de pile. Tout est dit dans ce dessin et ce cercle-là n’indique qu’une chose, c’est sa deuxième définition de la connaissance primordiale, au niveau de sa métaphysique. C’est pouvoir être là où il n’y a rien. Etre là où il n’y a rien c’est d’accepter de faire le saut dans un vide absolu, parce que vous êtes assez fort dans votre vie pour avoir compris que la vie est un jeu dans la matière et qu’il s’agit de vous dé-fasciner des formes, de vous dé-hypnotiser, de vous désidentifier de toutes formes subtiles ou grossières, et de comprendre que votre pensée est la plus basse vibration qui existe sur cette planète, que vos émotions qui viennent du passé c’est ce qu’il y a de plus bas au niveau vibratoire. C’est comme ça que chacun subit son passé, à quel degré êtes-vous de votre relation à vos émotions du passé, à quel degré vous êtes à votre niveau cognitif, quelle soif avez-vous pour vous transformer ? La transformation vue par la connaissance primordiale veut dire transformer, dépasser la forme. On ne peut pas changer en restant le même, personne n’a vu un papillon avec des morceaux de chenille.
Ce dessin assurément nous montre deux choses. Il nous montre que notre état initial est un état de béatitude, à l’état de perfection. Il nous montre aussi un deuxième niveau c’est l’identification à notre corps. Toute notre vie alimentée par cette fine pointe de la connaissance primordiale nous indique deux choses ; comment se réconcilier avec son corps qui a toutes les identifications et les mémoires du passé, qui nous enferme dans la limitation, la distance, la temporalité. Comment faire le lien entre ça et l’infini ? Il nous donne un symbole d’un sage hindou qui parlait d’une jarre et disait qu’en fait l’être humain est comparable à une jarre. A l’intérieur l’air est le même air qu’à l’extérieur pourtant cette jarre croit qu’elle est vraiment ce qu’elle est, et que l’extérieur est une menace pour elle, donc elle doit se protéger. Mais si on brise la jarre l’air est le même, c’est la symbolique même de la vie.
Voici un autre exemple que l’on connait tous, la caverne. Cette allégorie de la caverne nous explique deux choses. C’est que nous vivons dans une fausse matrice et aussi comment l’être humain doit se dé-hypnotiser se dé-fasciner de son moi. Il nous dessine la triade pour bien comprendre comment s’articule notre corps. Vous avez tous entendu parler du corps de l’âme et de l’esprit. Le corps physique a son double qui est le corps éthérique. Ce qu’on appelle l’âme qui est le corps subtil, en fait c’est l’alliance entre le prana qui vient du cosmos qui nous donne de l’énergie est ce qu’on appelle le corps mental qui sont les émotions et les pensées. Tout de suite vous voyez combien l’être humain est influençable. Il est influençable pour lui-même, il peut se créer sa propre prison à terme par ses propres pensées et autosuggestion, il est influençable aussi par la matrice qui l’entoure, il est influençable par tout ce qui est constellation cosmique etc. Où est le corps causal c’est le soi profond, c’est là que se joue l’enjeu de notre manipulation. Il y a juste un mince filet en nous qui est la résonance avec la connaissance primordiale, qui est là, ce corps causal nous fait le lien avec le corps mental comme un mince filet, c’est ce qu’on appelle notre capacité à prendre du recul sur les choses. Exactement ce point que nous avons inscrit en nous a la capacité de voir le soi en toutes les formes, la capacité à ressentir le soi dans toutes les formes. Tant qu’on aura cette possibilité l’être humain pourra sortir de l’amnésie où il est. Le jour qu’on aura supprimé ça, l’être humain deviendra un robot organique.
C’est sa troisième partie, il va nous raconter une histoire, il va nous parler de l’écran blanc de la mer et des vagues, et des bâtons d’encens. Les anciens pour expliquer ce qu’était l’illusion et la réalité prenaient un bâton d’encens, l’allumaient dans la nuit et faisaient des cercles, nous voyons un cercle que nous prenons vraiment pour un cercle mais il n’existe pas. Notre vie c’est ça, le jeu d’origine c’est ça. C’est de comprendre comment elle s’articule dans une illusion pour apprendre à jouer dans la matière, dans la dualité et rejoindre l’unité, ça paraît clair. La distorsion est venue s’immiscer, elle est venue s’immiscer entre nos sois profonds et le monde manifesté. Ce bâton d’encens a été fabriqué artificiellement pour nous faire croire à une illusion qui fait qu’on ne peut pas évoluer. Le jeu d’origine c’est cette correspondance entre le fait de s’appuyer sur le réel de comprendre comment notre fonctionnement duel nous imprègne, et comment pouvoir le déplacer. L’écran blanc : prenons un vieux cinéma des années 60 – 70, un écran blanc, un projecteur et une lumière.. tout est dit ! Peut-être que autant il y a deux cent mille ans on aurait pu utiliser cet exemple.
L’écran blanc représente votre soi profond qui a toujours été présent, votre état parfait, vous à l’état pur. La lumière c’est l’énergie la chakti comme disent les hindous, cette énergie que vous allez utiliser avec votre libre arbitre. Elle arrive parce que vous pensez à un certain niveau, elle s’offre à vous et vous en faites ce que vous voulez. Le film correspond à votre vie, votre passé à vous, toutes les illusions que vous mettez sur cet écran blanc. Voilà votre vie, vous mettez sur un écran blanc toutes les souffrances, tous les questionnements, toutes les problématiques qui ne sont pas forcément des problématiques, alimentés par cette matrice qui fait croire que quelque part la vie est une souffrance, dans la culpabilité, etc. C’est une connaissance métaphysique importante, l’écran blanc est toujours là. Si votre film casse, l’écran blanc est toujours là, si l’écran blanc disparaît, tout disparait.
Il y a une chose importante là-dedans à comprendre : l’être humain est clairement un lien entre le ciel et la Terre. La cristallisation de l’âme est le point le plus important. C’est de prendre conscience que dans cette matrice nous ne sommes que des machines à réagir, nous ne savons pas vraiment qui on est, on s’agite dans une mer agitée et on s’accroche à quelques rochers. La cristallisation de l’âme, c’est votre capacité à chacun de pouvoir créer une autonomie stable en vous, une autonomie qui voit par-delà de l’au-delà. Il rejoint un autre symbole, de l’arbre de vie. L’arbre de vie est simplement un espace d’autonomie que vous allez construire en vous dé-fasciné du passé, déconditionné du passé, déconditionné du passé de la distorsion. Cet arbre de vie vous allez lui donner des nourritures d’impressions émotionnelles physiques et mentales qui vont contribuer à vous faire évoluer, à quitter votre culpabilité, à prendre conscience que votre plus grand devoir c’est de vivre au plus proche dans l’instant présent, afin qu’à votre mort ça ne soit pas le mental ait qui peur de la mort. La mort et la naissance n’existent pas pour la conscience en vous. Regardez la mer et les vagues. Chaque vague pense qu’elle est une vague, mais finalement que se passe-t-il ? Chaque vague rejoint la mer qui représente un océan sans fond et sans rivage. Cela s’illustre parfaitement avec ce dessin. Dans les écoles Hellènes de Pythagore on parlait du mot epopme. En fait il parlait de la vision au-delà de la matière sensible. Vous comprenez une chose importante, c’est que cette vie promise par tout l’héritage cellulaire de la tradition haute et métaphysique que nous portons encore en nous, nous demande un autre mécanisme locomoteur émotionnel, physique et mental et nous demande de ne pas avoir peur du nageur qui s’échappe du rivage et nous pousse à un mécanisme émotionnel physique et mental inhabituel, qui force notre besoin de sécurité d’aller un peu plus loin d’aller que nos simples fascinations identifications à nos émotions à nos pensées et nos habitudes corporelles.
En fait ce dessin illustre le combat pour sortir de la dualité. Sortir de la dualité, c’est aussi sortir de la matrice. Parce qu’une chose est évidente c’est que le démiurge n’a pas la capacité créatrice, et il n’est pas créateur, il n’a pas l’ennoia, comme disent les Gnostiques, seul l’être humain a l’ennoia, la capacité de création, et nous sommes extrêmement puissants. Nous sommes capables de rejoindre deux infinis : l’infini de l’espace et l’infini du temps, plus précisément l’éternité du temps et l’infini de l’espace.
A quel niveau votre conscience s’identifie ? A chaque instant il se passe ça (il nous fait un dessin). Vous avez le zéro, et le un. En Inde on parle du Brahman passif et du Brahman actif. Le 1 fait 2 et 3 qui essaye de trouver un intermédiaire, et l’ensemble crée la stabilité. ça veut dire que quelque part la matrice nous enferme là-dedans. Elle est incapable d’aller plus loin, cette matrice est incapable de nous faire quitter la dualité si nous avons uniquement ce processus de conscience. Nous sommes capables en nous à travers notre vie ordinaire, à travers notre propre pensée de créer une collusion entre l’infini de l’espace et l’éternité du temps. Il suffit de travailler sur son temps à soi et sur son espace à soi.
Regardez, « réveillez la tradition endormie », ce que sous-tend cette phrase c’est qu’il faut être aussi fort que cette plante, parce l’homme vient d’ailleurs. Réveillez la tradition endormie c’est bien prendre conscience des mystères qu’on appelait les « grands mystères » à l’époque qui sont d’ailleurs encore aujourd’hui pour chacun d’entre nous vraiment contemporains pour réfléchir à comment sortir de ma prison interne. Il va nous en citer quelques-uns :
Le grand mystère de l’unité : Aristote parlait de Metafisica, au-delà du visuel, ce qui veut dire que chaque particule contient l’univers en entier, de la même façon que l’univers contient toutes les particules. Vous rendez-vous compte de la puissance de ce mot ? Chacun par votre libération et votre travail interne, vous êtes en constante communication avec l’univers. Cette matrice utilise finalement cette conception pour que vous soyez en complète correspondance avec elle par le biais de la manipulation du subconscient cosmique. Le grand mystère des rapports esprit matière, toutes les traditions parlent d’un non-être qui précède l’être.
Pourquoi être attiré par la lumière ? La lumière n’est qu’une forme subtile. Voyez-vous l’étrange stratagème de cette matrice, de cette distorsion qui utilise des vérités pour elle, pour vous manipuler. Pourquoi être attiré par la lumière ? Parce que nous sommes programmés, cellulairement pour être attiré par elle. En fait la vérité c’est que nous n’avons besoin de rien, pas de secours extérieur, pas de main tendue pas de forme appréciable, pour pouvoir se sauver soi-même. Travailler aussi sur le rapport de l’espace et du temps, il parlait de la cinquième dimension, cette cinquième dimension au-delà de la longueur, largeur, hauteur et temps. Cette cinquième dimension c’est là-dessus qu’il faut qu’on travaille, c’est ce qui vous permettra de sortir de la loi des cycles et des rythmes, et de ce cycle infernal, de l’essence mort renaissance mort amnésie renaissance mort renaissance amnésie mort, avec toujours ce programme de croire « je dois évoluer parce que je souffre » ! Est-ce que vous rendez compte de la folie dans laquelle on est. Cette connaissance primordiale nous indique à coup sûr même si elle a été éparpillée en miettes depuis des millions d’années. Il reste ce souvenir inconscient en soi, elle nous dit ça « faites attention à tous sauveurs qui se présentent à vous, faites attention à ne pas être inconsciemment une victime, faites attention de ne pas vouloir attraper la victime en étant un bourreau soi-même, faites attention de pas être dans le cerveau limbique qui vous identifie à manger, dormir, s’accoupler, avoir peur. Ce cerveau limbique qui vous indique aussi la paralysie, l’attaque ou la fuite, ce système vous tient par la peur ! Quelle tragédie d’être esclave, quelle tragédie !
Une chose qui est la plus importante à notre époque, c’est que nous sommes descendus si bas qu’on ne se rend pas compte ce que c’est que la normalité pour un être humain. En fait nous sommes des êtres anormaux, nous ne sommes pas normaux, nous sommes névrosés, déséquilibrés, en manque affectif, pas ancrés dans la Terre, mal dans notre peau, empoisonnés par les aliments. Vous vous rendez compte que tout ce travail doit se réinstaller en vous, et c’était la première étape qu’on demandait aux personnes qui souhaitaient faire un travail intérieur. N’oubliez pas ce terme de régénérer et de renaissance. Dans cette connaissance primordiale, ces deux mots sont les plus importants : renaître c’est naître à nouveau, se régénérer c’est se générer à nouveau, créer en vous les conditions de la mort de la mort, d’aller au-delà de la mort et de la naissance, qu’est-ce que ça veut dire pour vous ?
Alors qu’est-ce qu’il en reste au niveau métaphysique ? Il croit que cette connaissance primordiale nous indique une chose : être nous-mêmes à l’état pur. Elle nous indique aussi qu’il faut chercher l’erreur, il ne faut pas chercher la vérité à l’extérieur de soi, il faut chercher les erreurs qui nous éloignent de notre vérité interne, de notre état pur. Il faut arrêter de penser que les autres personnes ont autre chose par rapport à nous, en fait c’est en soi qu’il faut enlever ce qu’il y a en trop ! En fait cette connaissance primordiale indiquée par ce dessin nous explique deux choses : il faut tenir tout à la fois, l’horizontale et la verticale, vos formes vos sensations vos émotions vos pensées, vous devez créer une stabilité en vous, un arbre de vie interne, une autonomie par rapport à vos identifications internes. C’est une chose très importante, et aussi faire silence, faire un « jeun émotionnel », le silence, retirez-vous du train dans lequel vous êtes, asseyez-vous sur un banc et laissez passer le train qui passe. Nous-mêmes à l’état pur, c’est de pouvoir faire ce travail petit à petit, de l’égocentrisme au cosmo-centrisme, c’est de bien prendre conscience qu’en vous, vous avez deux inconscients, l’inconscient qui vous tient en contact direct avec le soi profond qui vous alimente vers une évolution infinie dans une joie infinie, et l’inconscient résiduel, c’est l’inconscient de toutes les mémoires qui se sont cumulées au fil de l’humanité qu’ils ont manipulées à travers votre ligne individuelle de temps. A chaque instant il vous est proposé 2 choses : soit vous restez endormi soit vous tentez de vous éveiller. Tout ce qui est inconscient est projeté, le but réel dans tout ça c’est d’éliminer ce qui recouvre et élimine votre conscience infinie.
Cette triangulaire là est très importante pour sortir de votre prison interne.
Votre corps énergétique porte les mémoires de tout ce qu’on a pu se dire et porte des mémoires de toutes les énergies usées que vous portez en vous.
Le corps mental, chaque pensée que vous allez formuler d’une façon répétitive alimentée par la matrice, va devenir une forme pensée, cette forme pensée va nourrir cet égrégore matriciel, voyez à quel degré chacun dans votre vie quotidienne vous devez penser à ça. Votre corps physique est votre prison interne, parce qu’il porte toutes les contractions et les tensions de votre passé à vous. Si vous ne travaillez pas un minimum sur votre centrage et votre enracinement, les choses se répéteront en lui. C’est pour ça qu’il est important de penser à deux choses : la dimension verticale, à chaque instant cet héritage de la connaissance primordiale est en vous. Vous n’avez pas besoin de devenir un rat ésotérique, un rat de bibliothèque pour comprendre l’alchimie, le nombre, etc., l’énergie libre, pour essayer de trouver votre vérité. Votre vérité est dans le cœur, votre vérité est là où vous en êtes émotionnellement, votre vérité est dans le verrouillage de votre cœur, c’est ce cœur-là qui vous ouvrira les portes de la dimension intuitive et du cœur intuitif, la dimension infinie de l’espace, n’allez pas chercher ailleurs, ce serait une fuite, travaillez sur vous-même. C’est la seule façon avec le silence intérieur d’appréhender le fameux nombre d’or. La dimension verticale, le bonheur non dépendant, acquérir une joie sans raison, une joie de vivre sans raison, travaillez pour faire en sorte que votre égo devienne en bonne santé, la seule façon de comprendre toute la dimension interconnectée de la connaissance primordiale est de pouvoir avec votre égo, de le transformer en bonne santé. Un ego en mauvaise santé ne pourra pas accéder à des dimensions spirituelles. La structuration est très importante avec l’ancrage. Enfin la tyrannie du passé, c’est ce qu’il y a de plus important, c’est cette tyrannie du passé qui nous cultive, la tyrannie du passé nous cultive dans une répétition, la matrice cultive ce passé, nous cultivons notre passé nos blessures chéries, nous cultivons ces répétitions et quand nous commençons à les comprendre nous devenons amnésiques et le processus se répète. Donc l’idée est de bien comprendre qu’il ne s’agit pas d’aller acquérir quelque chose qui vous manquerait, c’est d’enlever ce qu’il y a en trop pour atteindre ce que vous êtes vraiment, c’est à dire la perfection !
David ajoute pour terminer, sur le nous-même à l’état pur, une citation de Scott Fitzgerald :
« On devrait comprendre que les choses sont sans espoir, et cependant être décidé à les changer ». Comprenez qu’on pourrait vite comprendre que les choses sont sans espoir, mais en fait c’est un défi pour chacun d’accélérer son processus d’évolution, c’est un défi pour chacun de comprendre toutes les hypnoses, l’état hypnotique qui dure depuis des millénaires, qui nous fait croire à la culpabilité, à la résurrection qui nous fait croire à l’attirance pour la lumière, au rachat des péchés, qui nous fait croire à des tas de choses. Dépouillez-vous de ça et faites le grand saut, vous n’avez pas besoin de formulation extérieure pour retrouver en vous cette confiance, cette confiance où vous êtes parfait. Alors soyez vous-mêmes à l’état pur.
Le site de David Bouquet : www.davidbouquet.com
contact mail: davidbouquet@hotmail.com
Le lien vers la page d’exercices complémentaires : Complément d’exercices par David Bouquet
Place au débat avec le public et notre intervenant. Voici le questionnaire envoyé au préalable : Questionnaire David Bouquet conférence Octobre 2018 Diner ovni 73 Rouen
David commence par cette mise au point « La seule chose que j’ai essayé de faire c’est de tirer comment on fabrique du vin ou la quintessence des choses importantes qui peuvent exister sur lesquelles on peut s’appuyer parce que nous portons cette mémoire-là. C’est pour ça que c’est important de pouvoir se dire que l’on peut évoluer spirituellement sans aucune croyance, sans aucune religion, sans aucune idéologie, juste évoluer spirituellement parce que c’est notre nature, et que le simple fait de croire nous enferme ! »
Une question d’une participante : David, as-tu intégré tout ce que tu dis, l’as-tu fait ?
David répond qu’il est en chemin et il en parle. Il pense sincèrement que son point fort c’est cette précocité de bien comprendre que nous avons cette capacité de lire le soi. Du moment que son but c’est de voir le soi dans toutes les formes, forcément est inclut tout ce travail interne d’enlever toutes les formes internes d’illusion, donc il est en chemin.
Une question sur la méditation : la méditation vide, détachée des formes, peut être intéressante, juste la prendre comme un outil qui permet d’évoluer. On peut faire une méditation active au sein de la nature et des arbres, de comprendre l’invisible au sein du vide. En fait c’est de trouver à chacun d’être plus ancré, d’exprimer nos émotions, ne plus les mettre de côté. Une partie de notre passé n’est qu’une énergie qui a besoin d’exister et de s’exprimer, il faut ne plus le subir, on peut s’appuyer sur notre vie intérieure sans croyances sans réaction au passé, sans identification, on n’a pas besoin du passé pour être aimé et être ce qu’on est. La peur est la plus basse vibration qui existe.
Etre vrai, et habile. Plus on va travailler sur soi-même, on va trouver une stratégie sans jouer sur l’action réaction et plus on va ressentir le degré de l’autre.
Question sur la dualité et sortir de la matrice : comprendre cette double matrice. Une énergie unique ne se divise pas en 2. Nous vivons cette dualité, mais dans le jeu d’origine cette dualité nous permettait de comprendre la vie. Pour la dualité, la vie est un jeu dans la matière. Une fois qu’on a vécu les extrêmes on peut ressentir un apaisement. La recherche du bonheur est une énergie, elle correspond aussi à l’évitement du malheur. Nous vivons dans une société où nous vivons des bonheurs protégés par peur qu’ils disparaissent, même pas des bonheurs en entier. Dans le travail individuel, ce travail faisait en sorte qu’on rejoignait le tout. La matrice, la distorsion nous a coupé de cet élan, a usurpé cette capacité de sortir de la dualité pour la renforcer. On a fait croire aux gens qu’ils pouvaient sortir de la dualité par des choses éphémères, par l’argent, le pouvoir, toutes les choses extérieures qui nous font croire qu’on peut rejoindre la complétude. La double matrice : actuellement, non seulement la matrice est présente, mais elle est en train de créer une autre matrice à l’intérieur, renforcée par la génétique, le Transhumanisme, la magie noire, et c’est important de bien comprendre comment la pièce de puzzle joue. Comprendre le jeu d’origine, on ne peut pas éviter notre passé individuel mais on peut faire un travail alchimique dessus pour rejoindre le tout. On ne peut pas l’oublier, tout ce qui nous fait souffrir est dans notre mémoire et transpire dans notre vie. Faire un travail pour nous libérer de toutes les formes sur lesquelles on est fascinés, pour retrouver une joie de vivre qui s’inscrit dans l’éternité. C’est comme ça qu’on nourrira nos cellules de vibration qui nous permettront à nos particules de faire ce voyage de libération. On n’a pas à avoir peur de rejoindre le néant, le grand tout.
Questions : pourquoi ne pas aller vers la lumière à la mort ? Je réponds moi-même en citant les témoignages de NDE de Wayne Bush. David nous dit qu’ils manipulent la perception. Quelqu’un qui meurt avec des croyances, le corps meurt mais le mental subtil continue avec ses croyances, il va fabriquer lui-même avec un programme, créer ces conditions pour rester coincé dans ce disque vinyle, un sillon de plus en plus profond où l’on ne voit plus qu’une lumière qui s’introduit dans ce trou.
Question : peut-il imaginer une planète avec l’énergie libre et sans argent. Tout existe, toutes ces lignes de temps s’entrechoquent, on pourrait aussi être sur une ligne de temps pire que celle-ci. Peut-être que notre âme ira dans une autre ligne de temps pour continuer son parcours, mais cette Terre est une planète prison. C’est un programme aussi de penser qu’on peut changer les choses, depuis des années on tente de changer les choses sur cette planète. Il ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire. La première chose : c’est s’aimer soi et s’occuper de soi sans égoïsme. La 2ème chose, notre changement de conscience va amener à changer des choses autour de soi avec des missions avec d’autres personnes qui poussent à l’ouverture en enlevant tout ce qui est parasitage, etc. Juste faire ce qui doit être fait, de toutes façons notre vie est très courte par rapport à ce rouleau compresseur qui est le plan de l’archonte, qui existe depuis des millions d’années. Notre espérance de vie réduit cellulairement, beaucoup s’épuisent, on est un équilibre dans un système cybernétique. Attention jusqu’où on donne notre énergie nos intentions, dès qu’on veut sauver la planète, on trouve à l’extérieur notre satisfaction. Ce qui est important c’est de tester pendant 6 mois « je pense à moi sans égoïsme » et vais voir ce qui se passe, ce qui change dans ma tête.
Question : comment éviter d’être des piles recyclables. La distorsion a été jusqu’au bout en créant un paradis artificiel. Reconstituer la réalité en soi, comment trouver nos outils et nos moyens pour nous détacher de nos actions réactions et machine à réagir interne, créer un égo en santé, de le structurer, notre mental est notre pire ennemi si on ne remet pas les choses en place, et à la fois notre meilleur ami, pour progresser dans la dualité. Notre mental est devenu un monstre avec notre façon de penser, nous perdons pied avec le soi. Faites le test de ne pas nous enfermer dans des systèmes de croyances, faire le vide, les croyances sont là pour nous enfermer pour nourrir l’énergie de la matrice. Choisissez des gens qui vous élèvent et pas les parasites ni les prédateurs autour de vous. Ou alors intégrez la communication non violent si vous êtes obligés d’être entourés de parasites.
Question : le travail sur l’hypnose. Il faut passer la barrière du mental quand celui-ci marche trop et le vide entre les pensées. C’est comme la publicité qui imprime le subconscient. Une façon de reprendre par le subconscient le contrôle du soi, se dé-hypnotiser de cette société.
La vie : chaque instant chaque choix qu’on fait est une mort. Il faut être à l’aise avec ça, cette notion de finitude, c’est notre mental qui avance et crée le temps, il fabrique les séquences, le temps n’existe pas. La dualité c’est quelque chose qui se construit avec le mental et le temps. La mort est organique, mais elle n’existe pas, quelque chose en nous ne peut pas être atteint. Notre meilleur outil quantique c’est nous.
Question sur la place de l’égo : beaucoup de puissance négative accordée au mental, pourquoi ? On a un égo cosmique qui crée le cosmos, la dualité dans une vision linéaire. On a chacun en tant qu’individu son mental. Il n’a pas l’impression que c’est négatif de travailler sur son mental. Attention à la récupération de ces ateliers sur la pleine conscience etc.. les gens n’ont pas la vision d’aller au-delà de ça. D’autre part, tu es prisonnier de ton propre mental parce qu’il te fait croire que le mental est mal noté, c’est une croyance inscrite en toi. Pouvoir discuter et rencontrer des gens qui ne sont pas des manipulateurs et prédateurs, et échanger, on ne peut pas évoluer seul, son mental finit par se construire un scénario et on se replie sur soi. Notre époque est à un moment de transition charnière dans ce rouleau compresseur qui va continuer, on n’est qu’un fétu de paille qui va s’illuminer, ça va bien au-delà avec notre conscientisation de cette sortie de boucle et permettre à une autre boucle de se construire. Tout est boucle, tout est dans le cycle. Plus on va travailler sur notre mental avec parcimonie, au quotidien, sur les habitudes et préjugés qui nous enferment, nos peurs, à quel niveau notre conscience est enfermée, ce que l’on décide, ce que l’on veut aimer, etc.. Le mental va vous fabriquer toujours ce scénario répétitif, il ne veut pas mourir. Si on se dit je sais o je veux aller, je veux connaitre, plutôt que de faire téléguider par notre mémoire en réaction, je me connais.. là commence la liberté, le début de l’autonomie, avec 3 choix possibles : je sais où je pourrais aller si je ne me réveille pas, je sais ce que je voudrais faire si je décide de me réveiller, je pourrais faire autre chose et le tester, je peux aller là parce que je l’ai décidé.
Question sur le questionnaire : la notion de responsabilité, assumer ce qu’on a été. Notre ADN à partir de cet Adam, la responsabilité est-elle un concept dépassé parce que c’est le mental qui nous l’impose, etc.. David : la matrice cherche en boucle à nous culpabiliser et nous faire endosser la responsabilité de tout « vous êtes responsables de la pollution, etc »… Tout est justifié pour le mental pour dire je suis le plus malheureux de la Terre. Je vois ma mécanique interne, cette génétique familiale, c’est comme un sceau qu’on met sur une vache qui s’intègre dans la peau. Toute la force, l’engagement qu’il faut entreprendre et en même temps se dégager de ça. Le terme d’acceptation c’est « je vois ».. il n’y a pas de jugement à avoir là-dessus. Dès que l’on juge une énergie refoulée en nous, on l’interprète. Elle a besoin de s’exprimer cette énergie laissée de côté, elle peut vous faire souffrir. Chaque émotion qu’on met de côté set une souffrance c’est une partie du tout qui est mise de côté.
Question : se libérer de la matrice à la mort. Pourquoi attendre la mort ? David : il est vrai que si on intègre tous les outils qu’on sait s’ancrer, on sait apprécier la vie, les habitudes alimentaires, etc. il y a une forme de libération par la renaissance. On vit pour l’éternité, il faut intégrer la mort non pas comme un ennemi, tout dans la nature est mort et renaissance. La matrice veut transformer cette mort comme l’ennemi N° 1.
Question : y’a-t-il une vie dans la matière ou hors matière pour la connaissance primordiale. David : ça c’est une conception du mental qui nous fait croire ça. La matière est une vibration, c’est de la lumière congelée, c’est nous qui nous la faisons voir comme solide. La pensée c’est de la matière subtile, et la matière c’est de la pensée grossière. Elle est très liée à notre capacité de conscience. Si on laisse tomber les voiles, notre rapport à la matière sera différente, on sera en connexion avec de la mémoire intelligente au cœur de notre propre libération. Il a juste un ressenti, il ne l’a pas vécu.
David a observé que les gens les plus libérés étaient les gens ancrés, et avaient un rapport à l’invisible simple, et qui vivaient étaient la connaissance. Il y a une différence entre penser et vivre, entre penser la spiritualité et la vivre. Il prend la spiritualité – avec beaucoup de pincettes – au niveau de son étymologie : l’élévation de son mental avec le but de le dépasser, on peut vivre sans mental. Le mental est un outil, quelque part il n’est qu’un voile, une illusion fabriquée par le cosmos pour nous faire vivre la dualité.
Ma question : quels choix avons-nous après la mort physique ? David : si on vit on meurt sans avoir un minimum été éveillé. Il y a 3 types d’humains sur cette planète : les endormis, ceux qui s’éveillent et sont coincés dans un voile matriciel à travers les croyances (le commandant Ashtar et tout ça), ou le 3ème point, ceux qui ont une capacité à trouver un apaisement, qui sont centrés dans leur soi profond, qui ont fait un travail de décroyance, de déprogrammation. Il faut mieux aller dans cette 3ème direction de travail de déprogrammation de travail centré sur soi, tout est énergie et conscience. A notre mort notre corps va se désintégrer mes les particules cellulaires vont partir. Si elles ne sont pas assez élevées vibratoirement, elles se sentent prisonniers de notre niveau de croyance, si on ne fait pas ce travail-là on a aucune chance. Il fait ce travail des fois, il imagine qu’il meurt et il sait que pour l’instant il ne passe pas. Il ne passe pas parce qu’il a encore des croyances encore en lui, mais au moins il sait sur quoi il doit travailler. Il ne pense pas à sa libération, sinon c’est le mental qui pense à ça, il ne faut penser à rien, il faut se dire qu’en tant qu’être humain, notre vocation c’est de vivre dans une évolution sans fin et trouver la joie, l’évolution à l’infini, faire notre possible, travailler sur l’ancrage, la décroyance, chacun comme moi sait très bien sur quoi il doit travailler. Prendre conscience d’enlever ce qu’il y a en trop, et faire une enquête sur nous-mêmes ? Prendre en flagrant délit notre mental, qui nous enfume ! Rester vigilant, car notre mental va fabriquer des souffrances en plus. L’Atman de l’univers est notre Brahman intérieur, le soi englobe tout. La distorsion est un décor de théâtre, qui nous fait croire que c’est une fatalité, prendre conscience des voiles qui tombent, c’est de rejoindre une finalement une connexion éternelle avec une humanité qui existe dans une autre ligne de temps qui a été en profonde connexion avec le tout, une société où les gens pouvaient communiquer sans parler, etc.. ça existe, puisqu’on peut l’imaginer dans notre tête. Gardez cette phrase en tête au moment de la mort par exemple, « je veux aller vers le néant », il nous rappelle ce jardin au Japon, plus on avance dans le jardin plus c’est une mer de sable. Il suffit de sortir des croyances. C’est pas parce qu’on voit quelqu’un qui ressemble à un parent que c’est bien lui, ni si on est Chrétien qu’on voit un homme à la barbe blanche qui nous dit « rejoins la Terre » qu’il faut l’écouter.
Si on se dit juste « je veux rejoindre le néant », ne pas s’attacher à rien, dès que la lumière apparait, on est absorbé par nos particules et nos mémoires anciennes aussi. On a peur du vide quand on coupe le cordon ombilical, il faut se dire « je suis dans un train, je descends, j’avais prévu ça, je m’arrête à la gare et je me repose je m’assois et je laisse le vide m’apprivoiser». C’est ce vide-là qui vous donnera une réponse, une connexion profonde avec ce qui est hors de vous, en vous, votre origine, et l’univers, à chaque instant nous créons l’univers. On est dans un jeu holographique.
Question : si l’univers est dans nos croyances et nous le projetons, comment se fait-il qu’on voit tous le même univers ? David : dans le subconscient cosmique, l’archonte a créé u des programmes, en interférence avec le cerveau, on projette l’enfer sur Terre. Il n’est pas ailleurs que sur Terre. On est en train de construire le bas astral sur Terre. Il faut sortir de la triangulaire victime bourreau sauveur. Oui on est responsable de ce qu’on peut maitriser à moyen terme, notre vie, ici et maintenant, de choisir une vie d’éveil ou d’endormi, mais de porter la culpabilité à la masse humaine et dire c’est votre faute que tout ça existe. La matrice utilise une loi qui existe pour la détourner et nous manipuler. Elle utilise notre créativité en nous conduisant là où on ne veut pas aller, et pourtant on y va.
David nous remercie pour ce débat, nous le remercions aussi avec les applaudissements de nos participant(e)s, très inspirant et inspiré, un éveilleur hors pair sur la vraie spiritualité. Un grand merci de nouveau à notre ami David Bouquet et à nos participant(e)s pour leur attention et participation au débat post-conférence. Un énorme merci aussi à l’équipe du restaurant l’Etrier, pour leur excellent menu, leur super accueil et grande flexibilité.
Nous avons distribué des CD aux participants contenant des compléments d’information en rapport avec les thèmes de la soirée!
A très bientôt pour notre Dîner Ovni suivant et dernier Rendez-vous de l’éveil de l’année 2018… le 8 décembre prochain…. Avec un invité surprise !