Depuis lundi dernier, un repère géodésique a changé, avec la chute de la flèche de Notre Dame….
« Le point zéro est situé à une cinquantaine de mètres devant l’entrée de Notre-Dame, sur l’Île de la Cité, dans le 4e arrondissement. La borne routière qui matérialise ce point dans les pavés du parvis de la cathédrale prend la forme d’une rose des vents gravée au centre d’un médaillon octogonal en bronze ; celui-ci est entouré d’une dalle circulaire en pierre divisée en quatre quartiers, chacun d’eux portant l’une des inscriptions en lettres capitales : « POINT », « ZÉRO », « DES ROUTES » et « DE FRANCE ».
Il ne doit pas être considéré comme une borne géodésique qui matérialiserait un point géodésique ; à titre d’exemple, le point géodésique le plus proche dans le RGF était jusqu’à l’incendie du 15 avril 2019 la flèche de la cathédrale. Suite à son effondrement, le point géodésique le plus proche est la flèche de l’église Saint-Paul-Saint-Louis, situé un peu moins de 800 mètres au nord-est. »
Quelle est cette église Saint-Paul-Saint-Louis, situé un peu moins de 800 mètres au nord-est ?
« L’église Saint-Paul Saint-Louis, précédemment appelée église Saint-Louis-des-Jésuites située1 dans le quartier du Marais à Paris (4e arrondissement), est un édifice religieux construit au XVIIe siècle par les architectes jésuites Étienne Martellange et François Derand, sur ordre de Louis XIII. Située rue Saint-Antoine, l’église jouxte le lycée Charlemagne, ancienne maison professe des jésuites à Paris.
La double titulature de l’église Saint-Paul Saint-Louis est héritée de la révolution française. »
Jésuites et révolution…. Une passation tout juste anodine, donc, en attendant la « reconstruction » de la flèche de Notre Dame?
Il est possible qu’ils aient changé délibérément le point zéro à Paris par rapport à l’effet Mandela, pour produire un effet Mandela à partir du Cern ? Il faut avoir les coordonnées spatio-temporelles du lieu que l’on veut impacter, cela est aussi valable pour le voyage dans le « temps ».
Il faut savoir que dans l’absolu le POINT ZERO est le lieu d’ÉQUILIBRE, là où se trouve la Source, la NEUTRALITÉ, c’est le « I AM »..
Les cathédrales ont été bâties par des initiés sur des emplacements stratégiques.
Sur Terre, les vortex interdimensionnels sont reliés entre eux par des « bornes » ou bâtiments qui sont des points de repères stratégiques. Les illuminati procèdent lentement mais surement, attendons de voir leur prochain acte, le fait d’avoir changé le point zéro à Paris n’est certainement pas anodin !
Vous souvenez-vous le film La tour infernale avec Steve Mc Queen ? Si la tour Montparnasse prend feu comme dans le film cela sera un nouveau signe qu’ils préparent un autre grand coup, le feu est un grand symbole chez les satanistes…
Et si cette « borne routière » décrite comme une simple rose des vents sur le parvis de la cathédrale…. était la fameuse étoile à 8 branches de Jupiter qu’on voit partout depuis Sumer et dans les films Hollywoodiens ?
JUPITER 8 POINTED STAR
Le fait que Macron se fasse appeler Jupiter, que les illuminati aient fait le film « ascension Jupiter » par les réalisateurs devenus réalisatrices, les soeurs Wachowski, l’étoile à 8 branches représente Jupiter et les Annunaki.. que Hollywood mette ce symbole dans la plupart de ses films, doit bien vouloir dire quelque chose de précis au niveau vibration et puissance tellurique…
D’ailleurs, les frères devenues sœurs Wachowski, qui ont réalisé la trilogie Matrix, Cloud Atlas, Sense8 sur Netflix, entre autres, ne sont pas en réussite depuis quelques temps :
Leur double changement de sexe et leurs déboires professionnels auraient-ils un rapport avec cette malédiction Jupitérienne ?
C’est bien l’étoile à huit branches, symbole d’Ishtar, détail d’un kudurru de Meli-Shipak qu’on retrouve dans TOUS les films Hollywoodiens…
Dans l’optique rituelle
Dans plusieurs traditions « païennes » et néo-païennes, où une analogie est établie entre la fertilité de la terre et la fécondité de la femme, la hiérogamie, le plus souvent accomplie dans la nuit précédant le 1er mai (célébration de Beltaine dans la mythologie celtique, nuit de Walpurgis dans le folklore germanique), est un rite de fertilité, censé symboliser la plantation de la graine dans la terre et favoriser les pluies.
Ces traditions se réfèrent toutefois à des principes jugés divins.
INANNA OU ISHTAR
Plusieurs textes confèrent quoi qu’il en soit à Ishtar la faculté d’inversion de la destinées des personnes, illustrée à plusieurs reprises par sa capacité à transformer les hommes en femmes et vice-versa :
Inanna a été dotée par Enlil et Ninlil de la faculté
de réjouir le cœur de ceux qui l’honorent dans leurs demeures établies,
de ne pas apaiser l’humeur de ceux qui ne l’honorent pas dans leurs demeures solides ;
de transformer un homme en une femme et une femme en un homme,
de changer une chose en une autre,
de faire se vêtir des jeunes femmes comme des hommes sur son côté droit,
de faire vêtir des jeunes hommes comme des femmes sur son côté gauche,
de placer des fuseaux entre les mains des hommes,
de donner des armes aux femmes.
— Hymne d’Ishme-Dagan d’Isin en l’honneur d’Inanna89
Autre hommage moderne, Ishtar est une des 1 038 femmes représentées dans l’œuvre contemporaine The Dinner Party de Judy Chicago, aujourd’hui exposée au Brooklyn Museum. Cette œuvre se présente sous la forme d’une table triangulaire de 39 convives (13 par côté). Chaque convive étant une femme, figure historique ou mythique. Les noms des 999 autres (666) femmes figurent sur le socle de l’œuvre. La déesse Ishtar est la troisième convive de l’aile I de la table155. Les astronomes ont par ailleurs nommé en l’honneur de la déesse un des deux continents qu’ils ont découvert sur la planète Vénus à laquelle elle était associée, appelé Ishtar Terra156. La déesse sert enfin d’inspiration à des auteurs de romans ou de bandes- dessinées.
Vénus : une divinité astrale
Ishtar est une divinité astrale, identifiée à la planète Vénus (Delebat en akkadien, ou bien simplement « Ishtar »), étoile du matin et du soir10. La déesse est d’ailleurs souvent symbolisée par une étoile à huit branches, représentant sans doute cet astre.
Ishtar occupe une place majeure dans l’espace céleste. Comme cela a été évoqué son nom sumérien signifie « Dame du Ciel », et il se retrouve en akkadien dans l’épithète « Reine/Dame du Ciel » (šarrat/bēlit šamê) aux côtés d’autres appellations similaires comme « Reine des Cieux et des Étoiles » (šarrat šamāmi u kakkabê) ; dans le mythe de sa descente aux Enfers, elle se proclame « Reine du Ciel, de là où le soleil se lève » Ishtar occupe une place majeure dans l’espace céleste. Comme cela a été évoqué son nom sumérien signifie « Dame du Ciel », et il se retrouve en akkadien dans l’épithète « Reine/Dame du Ciel » (šarrat/bēlit šamê) aux côtés d’autres appellations similaires comme « Reine des Cieux et des Étoiles » (šarrat šamāmi u kakkabê) ; dans le mythe de sa descente aux Enfers, elle se proclame « Reine du Ciel, de là où le soleil se lève »
Inanna / Ishtar
Inanna (= Dame du Ciel, ou Dame de An (son père ou époux), en sumérien) / Ishtar (en akkadien), parfois appelée Bêlet (= la Souveraine), est une éesse composite de la guerre et de la discorde à Sumer, et de l’amour et de la volupté dans l’espace sémitique. Initialement célébrée à Uruk, sont culte se répand ensuite partout (grands temples à Ninive, Arbèles et Kalah). On l’associe couramment à la planète Vénus (et elle sera d’ailleurs plus tard assimilée par les Grecs à leur déesse Aphrodite (via sa version assyrienne Astarté), et par les Romains à leur Vénus).
-Un récit mythologique décrit sa descente aux Enfers où elle est retenue prisonnière (La mort et l’au-delà). Pour s’en évader, elle conclut un marché qui laisse son amant Dumuzi / Tammuz captif à sa place. On a vu dans ce mythe une évocation du cycle de la planète Vénus, qui d’étoile du soir devient étoile du matin après sa disparition. Le même type d’interprétation a été donné par A. Aveni au mythe aztèque de Quetzalcoatl.
L’élément passif et féminin dans le panthéon assyro-babylonien est, comme dans toutes les religions de l’Asie occidentale, représenté par une foule de divinités femelles qui dérivent les unes des autres et ne sont, au fond, que les manifestations diverses de la même déesse qui change de noms et d’attributs, suivant qu’on l’envisage comme divinité sidérale, terrestre ou infernale, ou comme épouse de tel ou tel dieu, car chaque dieu a une compagne. En assyrien, on l’appelle généralement Ishtar, mot d’où est dérivé le nom d’Astarté; ses deux temples les plus célèbres sont ceux de Ninive (Mossoul) et d’Arbèles (Erbil) où elle était représentée sous les deux principaux aspects de sa multiple nature; on invoque constamment, comme deux divinités parèdres, « Ishtar de Ninive » et « Ishtar d’Arbèles ».
-Ishtar. Statuette d’Ishtar en terre cuite. Avec ses hanches larges et qui presse ses deux mains sur ses seins d’où vont jaillir deux sources de vie, elle présente ici la physionomie des déesses-mères (ou mères des dieux) archaïques.
En Basse-Mésopotamie, c’est à Uruk ou Erech qu’il faut chercher l’origine de son culte; on l’honore sous le nom de Nanâ. Nabuchodonosor appelle Nanâ ou Anna, « la mère d’Uruk, la dame d’Uruk, » et il restaure son vieux temple nommé en suméro-akkadien le E-Anna ou E-hili-Anna, « la demeure d’Anna » ou « la demeure de la splendeur d’Anna ». Le nom d’Anna ou Anat qu’on lui donne, est le féminin d’Ana, et il a formé le grec Anaïtis, comme Nana a formé pour les Grecs Nanaea. Pour désigner la même divinité on emploie encore les noms de Malkit, Anunit, Zarpanit, Belit, Allat, et d’autres moins usuels.
Elle est Belit quand on l’invoque comme reine des dieux et des hommes, maîtresse de l’univers organisé; Damkina, envisagée comme souveraine des ondes; épouse du dieu-poisson, dans lequel se personnifie Êa, l’intelligence divine; Ishtar, à la fois comme guerrière, « reine des batailles » et déesse des amours, épouse de Dumuzi ou Tammuz, le jeune dieu lumineux ravi à la fleur de l’âge, enfin comme présidant à la planète Vénus; Zirbanit ou Zarpanit, comme formatrice des germes, déesse de la fécondité chez les êtres animés; génératrice, Muallidat (Mylitta), honorée par les prostitutions sacrées de Babylone; Anunit, comme « l’étoile du fleuve Tigre », comme la planète Vénus en tant qu’associée conjugalement au Soleil; Gula, comme Lune, et par suite triforme, et se confondant avec Sin; enfin Allat comme déesse chthonienne et funèbre, reine des enfers On la représente comme l’épouse de Bel-Marduk, comme l’épouse de Shamash, comme l’épouse de Adar-Sandan. De même que Hécate chez les Grecs, elle change de nom avec les phases de la lune croissante, pleine et décroissante; aussi avait-elle à Borsippa trois sanctuaires a la fois, réunis dans une même, enceinte : « le grand temple, le temple de la vie et le temple de l’âme vivante. »
Tantôt, la déesse a un aspect guerrier et préside aux combats, tantôt elle est la déesse de l’amour et de la volupté et son symbole est la colombe, tantôt elle est la déesse mère et tient son enfant dans ses bras. Tel est le sens mystique du personnage légendaire de Sémiramis qui n’est que l’incarnation de cette déesse triforme. Cette multiplicité d’aspects de la divinité femelle est nettement exprimée dans un hymne à la planète Ishtar ou Vénus, où l’on célèbre en même temps l’androgynisme essentiel de la divinité femelle, et la notion de l’inceste divin, du dieu Tammuz, mari de sa mère : données qui n’ont été répandues dans le monde grec que par les Orphiques et les Néoplatoniciens, mais qui, plus de deux mille ans avant l’ère chrétienne, étaient professées à l’état de dogmes formels dans les écoles du sacerdoce assyro-babylonien :
L’astre femelle est la planète Vénus (Dilbal); elle est femelle au coucher du soleil;
L’astre mâle est la planète Venus; elle est mâle au lever du soleil;
La planète Vénus, au lever du soleil, Shamash est le nom de son possesseur a la fois et son rejeton.
La planète Vénus, au lever du soleil, son nom est la déesse d’Agadé (Anunit)
La planète Vénus, au coucher du soleil, son nom est la déesse d’Uruk (Nana).
La planète Vénus, au lever du soleil, son nom est Ishtar parmi les étoiles.
La planète Vénus, au coucher du soleil, son nom est Belit parmi les dieux.
C’est ainsi que la même divinité symbolise les évolutions perpétuelles du principe féminin et passif de la nature : ce qui n’empêche pas que chacune de ces formes nombreuses s’incarne, pour ainsi dire, pour devenir l’épouse d’un dieu, et qu’elle a sa vie propre et individuelle. Ishtar a son rôle et ses attributs dans le ciel, aussi bien qu’Allat, la reine des enfers, qui parfois lui est opposée, comme dans le poème de la descente d’Ishtar aux enfers, où elle est sa soeur et sa rivale. (F. Lenormant). »
— Épopée de Gilgamesh, traduction de J. Bottéro
C’est donc l’aspect négatif et destructeur de la déesse de l’amour qui apparaît ici. Humiliée par cet affront, la déesse demande à son père le grand dieu Anu d’envoyer le Taureau céleste contre Gilgamesh, mais celui-ci le terrasse avec l’aide d’Enkidu, qui à l’issue du combat adresse une dernière provocation à la déesse. Ce triomphe est à l’origine de la mort d’Enkidu, décidée par les grands dieux, qui cause le désarroi de Gilgamesh et l’incite à partir à la quête de l’immortalité. »
Cette descente aux enfers d’Ishtar…. Semble se transposer à tous les niveaux de symbolisme de cette étoile à 8 branches reptilienne.. Ishtar et sa faculté d’inversion de la destinées des personnes, illustrée à plusieurs reprises par sa capacité à transformer les hommes en femmes et vice-versa… nous oriente vers ces tendances tellement ostentatoires du transgenre, du gommage des sexes… et d’une société transhumanisée et surtout déshumanisée.
Alors, partirons-nous en « transhumance » vers une meilleure humanité ou une inhumanité persistante ? Seul l’avenir sur cette ligne de temps nous le dira… à moins de trouver un moyen de transférer notre avatar et notre conscience vers une autre ligne de temps plus favorable et porteuse de liberté, décence, d’empathie et d’amour..
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